Auteur |
Le 06/12/2016 à 05:33 |
jeanfr.marechal@gmail.com
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"qu'il adorait": c'est lui qui adorait sa femme laide et non l'inverse (dans cette phrase).
"contentaient": au pluriel, car ce sont (je le présume) les quarante mille francs qui contentaient, et non le mari.
Impossible à deviner a priori. Deux "erreurs" qui me valent six fautes: vexant! |
Auteur |
Le 06/12/2016 à 08:29 |
paula
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J'ai fait exactement les mêmes erreurs :" qui l' adorait " et " il contentait " au lieu de " qu'il adorait
Et ils contentaient et j'ai " seulement ! " quatre fautes, beaucoup trop mais je ne comprends pas pourquoi on vous en compte six. |
Auteur |
Le 06/12/2016 à 08:31 |
valmariane
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Bonjour,
Je pense que le sujet de "contentaient" se rapporte plutôt aux deux parents vis-à-vis de Cécile. Ceci dit, je me suis aussi allègrement trompé, idem pour "qu'il adorait". Comme vous le soulignez, difficile de déterminer de quel côté la pièce va tomber ....
Bonne journée |
Auteur |
Le 06/12/2016 à 09:04 |
blanchris
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Bonjour,
Complètement d'accord avec tous ! Il existe des passages incompréhensibles dans cette dictée !
Cordialement. |
Auteur |
Le 06/12/2016 à 09:49 |
guerinijm
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J'ai également fait l'erreur pour qu'il adorait c'est vrai que les deux vont bien.
Mais pour ils contentaient ce qui m'a aidé c'est la succession des achats qu'ils font pour Cécile. |
Auteur |
Le 07/12/2016 à 07:46 |
jeanfr.marechal@gmail.com
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Pour autant que je me souvienne, il n'est nullement question des parents de Cécile dans le texte ni dans les avertissements. Quant au pluriel d'"achats" qui induirait le pluriel du verbe, je ne comprends pas : ce ne sont pas les achats qui contentent, le sujet est autre à mon avis. Il arrive que le sujet soit postposé, comme dans "vivent les vacances", où je ne comprends pas non plus que l'on tolère le singulier du verbe... De toute façon, il est regrettable que toutes ces ambiguïtés ne soient pas levées dès l'abord dans l'encadré où figurent les avertissements et notes. Il faudrait bien sûr au préalable analyser grammaticalement la dictée proposée. C'est là que le bât blesse (ou comme on dit en allemand "c'est là que le chien est enterré"). |
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Le 07/12/2016 à 08:47 |
guerinijm
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Votre résonnement est torturé il me semble, le fait qu'ils soient parents est sous entendu car à partir du moment où une naissance est tardive les protagonistes sont forcément parents.
Si je reprends la phrase : ils contentaient tous ses désirs : une voiture etc...
Je suis absolument sûre que le sujet "ils" remplace Monsieur et Madame et que comme Cécile est fille unique ils assouvissent tous ses désirs. |