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Dictée du 20 mai : Le ventre de Paris

Auteur	Le 21/05/2016 à 09:40
blanchris	Bonjour à tous, Dans la première phrase : "Au milieu du grand silence, et dans le désert de l'avenue, les voitures de maraîchers montaient vers Paris, avec les cahots rythmés de leurs roues, dont les échos battaient les façades des maisons, endormies aux deux bords, derrière les lignes confuses des ormes.", je n'ai toujours pas compris avec quoi s'accordait "endormies" ! Seraient-ce les voitures de maraîchers, ou alors les façades des maisons, à moins que ne soient les roues des voitures ? Cela me semble bien incompréhensible. J'ai fait cette dictée 4 fois, et toujours cette même erreur que je voudrais corriger pour la prochaine fois. Merci de vos éclaircissements. Cordialement.
Auteur	Le 21/05/2016 à 20:03
lancelot	Bonsoir blanchris, Pour moi, " endormies " qualifient les maisons, (lesquelles constituent " les deux bords " de l'avenue citée au début de la phrase) . Sera-ce l'éclaircissement logique et suffisant qui permettra une correction définitive ? Bonne soirée
Auteur	Le 21/05/2016 à 21:35
guerinijm	"endormies" s'accorde avec les maisons car à l'intérieur des maisons il y a forcément des gens qui dorment, cela ne peut pas être les façades, encore moins les voitures des maraîchers, c'est comme ça que je l'ai interprétée. Peut-être cette explication vous semblera plus logique.
Auteur	Le 22/05/2016 à 08:21
AnneHonyme	Oui, je confirme ! Ce sont bien les "maisons" qui sont endormies. D'ailleurs cette expression se dit toujours !
Auteur	Le 22/05/2016 à 10:03
blanchris	Merci à tous de m'avoir éclairée. Je crois que je ne ferai plus cette erreur à l'avenir. Cordialement.